Communiqué du 27 novembre 2012 des Cercles Nationalistes français

L’élection à la présidence de l’UMP montre jusqu’à qu’elles tricheries le clan Copé-Sarkozy est capable de se livrer en vue de reprendre le pouvoir en 2017.

C’est au point qu’Olivier Mazerolle de BFMTV parlait de «putsch de Copé» lorsque celui-ci a annoncé dimanche 18 novembre, qu’il avait gagné alors qu’il restait 50% des résultats à compter !

C’est ainsi que François Fillon a brusquement réalisé à quel point son rival, en tant que Secrétaire général de l’UMP, même pas élu mais désigné par Sarkozy, avait verrouillé la structure du parti et était sûr, quoi qu’il arrive, de l’emporter.

Le fait que le président Gélard de la Commission de dépouillement des résultats, la Cocoe, ait pu donner les résultats favorables à J-F Copé, non seulement sans publier les résultats par fédérations, mais pire encore, en «oubliant» trois Fédérations du parti, démontre que le clan Copé-Sarkozy savait qu’il perdrait si les résultats de ces trois Fédérations étaient additionnés…

Alors que François Fillon avait accepté dans un premier temps son apparente défaite avec une élégance et un mépris qui tranchait avec la duplicité de son rival, la découverte de l’ «oubli» décisif des trois Fédérations, l’a décidé à dénoncer les «méthodes mafieuses» du clan Copé-Sarkozy.

En cela François Fillon a parfaitement raison, car c’est dans le sérail de l’Union corse de Charles Pasqua qui fut son mentor, luimême «membre d’honneur» du Mossad israélien, que le jeune avocat Sarkozy allait faire ses armes, fabriqué en outre par le «néoconservateur » sioniste Frank Wisner Jr. de la CIA.

Sarkozy est de ce fait, une créature du clan juif du Pentagone (1).

Toutes les affaires qui ont suivies, Affaire Karachi avec Balladur, Affaire Bettencourt, ses démêlés avec Dominique de Villepin, dans l’Affaire Clearstream, etc…, confirment que l’ancien Président de la République, était prêt à tout pour parvenir au pouvoir et aujourd’hui pour y revenir à l’aide de son «poisson-pilote» J-F Copé.

Le problème c’est qu’aujourd’hui Copé n’a plus du tout envie de lâcher la place…

À l’avance dès le 11 novembre, J-F Copé avait annoncé qu’il récuserait les résultats des Alpes Maritimes.

Aujourd’hui les allégations du clan Copé de tricherie dans le bureau N°1, tombent à plat, car le président de séance qui a signé le bordereau du décompte des voix est un fidèle de Copé…et François Fillon d’accuser le clan Copé d’avoir sciemment trafiqué les chiffres pour faire annuler les résultats de cette Fédération …

On mesure ainsi à quel point Copé croyait jouer sur le velours avec le Comité de Comptage à sa botte avec le président Gélard, mais aussi avec son avocat et coreligionnaire Me Spitzner, membre du Comité…