À QUI CELA PROFITE-T-IL ?!
Deux affaires attirent l’attention : 1° L’Affaire Dieudonné et ses suites
Avant de s’enflammer à ce sujet, il convient d’en cerner les contours, voir à qui elle a profité et quelles en sont les conséquences :
– Elle aura servi à la publicité de Dieudonné alors que différents blogs ont évoqué son appartenance au Mossad qu’il aurait reconnue, sans qu’à notre connaissance, il les ait dé´menties pas plus qu’Alain Soral que j’ai interrogé à ce sujet, laissé sans réponse…
– À renforcer la législation interdisant de parler de la mainmise juive sur la France.
– À occulter le fond du problème :
Pourquoi l’antisémitisme, pourquoi autant de gens dans le monde deviennent-ils antisémites ?!
Aussi est-il regrettable que pas un commentateur n’ai songé à rappeler ce qu’écrivait l’historien juif Bernard Lazare au lendemain de l’Affaire Dreyfus dans son livre L’Antisémitisme, son histoire et ses causes.
Il reconnaissait honnêtement entre autres, «il faut donc que les causes générales de l’antisémitisme aient toujours résidé en Israël même et non chez ceux qui le combattirent».
Cependant, quelles qu’aient été les motivations de Dieudonné, et au-delà de ses provocations primaires, comme souvent, «le diable porte pierre».
Cette Affaire aura servi à révéler au public la puissance du lobby judéo-sioniste !
Si vous voulez savoir qui gouverne la France observez de qui on ne peut parler !
2° Le projet de regroupement des départements
De prime abord, si nous étions au pouvoir, nous serions pour, en vue de reconstituer les provinces détruites par la Révolution.
Or le projet en question est tout autre.
Il vise à fabriquer des régions économiques qui pourront discuter directement avec Bruxelles.
C’est la poursuite du plan mondialiste.
C’est ainsi la poursuite du démembrement de la nation et rejoint ce que prônait dans le Wall Street Journal, 7.5.1909, Félix Rohatyn, ancien ambassadeur des États-Unis en France, ancien directeur de la Banque Lazare, dirigeant de la très discrète et influente association la French-American Business Council :
“Il est temps de penser à l’Europe d’une façon nouvelle, non plus comme une collection d’États-nations, mais comme une constellation de cités dynamiques et de régions qui doivent être nos clientes”.
De quoi ce politicien juif américain se mêle-t-il ?
Morale de l’Histoire, avant de réagir, il faut cerner le problème et toujours se poser la question :
À qui cela profite-t-il ?!
P. P. d’Assac
Président des Cercles nationalistes français
À la suite de ce Communiqué deux lecteurs de Rivarol ont jugés bon de moquer mon analyse en escamotant le fond du problème, d’où ce Communiqué de Réponse ci-après adressé pour publication à M. Jérôme Bourbon.