Communiqué des Cercles Nationalistes Français du 11 septembre 2019

COMMUNIQUÉ DES CERCLES NATIONALISTES FRANÇAIS

11 Septembre 2019

 

     Le dernier commentaire du sieur Hervé Ryssen essayant de me répondre, est un chef-d’œuvre de récupération se servant de Vincent Reynouard qui, bien naïvement plaide pour l’union générale de Patrick Buisson, conseiller de Sarkozy, à Alain Soral et son ami sataniste Christian Bouchet, jusqu’à Jérôme Bourbon ou autres ce qui est une incohérence totale !

     C’est toujours la même illusion de certains de prôner l’union.

     Ils ne comprennent pas que tenter d’unir des tendances opposées, ne constitue pas une force, mais une annulation de forces, sans compter l’anarchie qui en découle et l’impossibilité de former des cadres du fait de ces contradictions.

     Le problème des Ryssen, Reynouard et autres c’est qu’ils sont obnubilés pas un seul sujet – judaïsme, sionisme, shoah – mais ne voient pas la globalité du combat, parce que contrairement à nous, ils n’ont aucune ligne doctrinale directrice.

     En outre, en tentant d’utiliser le sionisme de Boris Le Lay d’une certaine époque en son appui, Ryssen oublie ou occulte que Le Lay a compris son erreur et a suivit l’évolution contraire de la sienne.

     Aujourd’hui Ryssen est à la remorque du juif sioniste Zemmour qui, en outre plaide pour une guerre civile en France…

     Cela n’a rien d’étonnant car, les juifs avec les Attali, BHL et autres, par leur poids sur le Pouvoir, nous ont amené l’immigration-invasion après avoir poussé à la décolonisation pour submerger la France chrétienne.

     Ils prennent peur maintenant devant cette immigration de plus en plus antisémite devant les crimes impunis d’Israël en Palestine occupée.

     Voilà, ce que ce malheureux primaire de Ryssen ne comprends pas, ou ne peut le comprendre du fait de ses nouvelles sympathies…

     Me traiter de « plonplon le dingo » n’apporte rien à son plaidoyer en sa défense.

     Bien au contraire, il s’enfonce.

     Ce d’autant qu’il se garde bien d’apporter la preuve des imputations qu’il m’avait faites.

     Je l’avais exigé dans mon précédent Communiqué du 4 septembre, or force est de constater qu’il s’est bien gardé de le faire, ce qui jauge son honnêteté intellectuelle….

     Dire « des ennemis infiltrés dans les rangs de l’extrême-droite, travaillent à nous diviser et à nous affaiblir » est vrai, c’est la raison de mes mises en garde devant son évolution !

     Je conçois que cela lui nuise et le rende hagard, mais à qui la faute…

     Aussi je lui conseille de se soigner, car la contemplation de son visage haineux montre qu’il est au bord du « burn out » comme on dit.

     Conseil de médecin, pas d’ami …

 

Philippe Ploncard d’Assac

Président des Cercles Nationalistes Français

 

 

P.S. – Par souci de précision, et pour que chacun puisse se faire sa propre opinion, Cf. ci-dessous l’extrait de la page VK d’Hervé Ryssen :

L’incendie de Notre-Dame de Paris – 19 avril 2019

COMMUNIQUÉ DES CERCLES NATIONALISTES FRANÇAIS

19 avril 2019

            Au de là de l’origine, accidentelle ou criminelle, de l’incendie de Notre-Dame de Paris, comme pour nombre d’atteintes à nos églises, non protégées par l’État contrairement aux bâtiments de la communauté juive, ce drame a un sens dans le contexte de l’état de l’Église et de la France.

            – L’incendie de Notre-Dame symbolise l’incendie dans l’Église moderniste qui a perdu tout sens missionnaire pour se faire admettre par le Sanhédrin moderne.

            L’annonce d’une conférence récente vient le confirmer :

            Il s’agit d’une réunion les 17 au 19 avril à la Sainte Baume près de Toulon sur « La découverte de nos racines », « découvrir le judaïsme : conférences, témoignages, danses israéliennes, louanges, prières, temps fraternels »

            Il n’y aurait rien à redire si dans l’annonce, n’était annoncée la participation « de Mgr. Dominique Rey évêque de Fréjus-Toulon, du Père Beaublat et du Père Coudray, directeur SNRJ à la Conférence des évêques de France…, et enseignant au séminaire israélite de France » (sic) !!!!

            Voilà donc où en est l’Église sous la conduite de ses pasteurs d’aujourd’hui, à célébrer « les racines du judaïsme » oublieux du Nouveau Testament… !

   Cet aplatissement de l’Église et notamment de l’épiscopat français devant le judaïsme, ne tient aucun compte des blasphèmes du Talmud envers le Christ et oublie les vaticinations haineuses de nombre de rabbins.

Celles des rabbins Ron Chaya et Touitou qui, dans sa vidéo du 1 juillet 2015, se réjouissait :

“Le mashia’h [מָשִׁיחַ , messie] ne viendra que quand Edom, l’Europe, la chrétienté sera totalement tombée. “Donc je vous pose la question : “C’est une bonne nouvelle que l’Islam envahisse l’Europe”? “C’est une excellente nouvelle, ça annonce la venue du mashia’h”. 

Ainsi, le judaïsme tente de se servir de l’Islam pour détruire la chrétienté.

Cela sans oublier l’attitude constamment hostile d’Israël envers les communautés chrétiennes en Palestine occupée, aussi, cet aplatissement de trop de clercs devant le judaïsme, constitue une trahison envers Celui qu’ils sont censés défendre.

Tel est l’incendie qui ravage aujourd’hui la chrétienté, symbolisé par l’incendie de Notre-Dame de Paris.

            – L’incendie de Notre-Dame de Paris symbolise aussi l’état de la France, dont la charpente chrétienne, nationale et ethnique, se consume sous les efforts des ses ennemis laïcs et bibliques.

            Et pourtant on sent, même au travers de certaines réactions du monde politique, comme une stupeur, comme une tétanie suite à un électrochoc, comme une prise de conscience brutale, d’une catastrophe nationale, de ce que représente ce drame.

            Parmi les déclarations, nous avons relevé, entre autres, celle de Rome, bien mièvre, sans âme, et surtout celle, très étrange, de Laurent Nunez, dont on connaît l’appartenance, adjoint au ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, affirmant que « la structure de Notre-Dame est définitivement endommagée »…, comme s’il envisageait déjà sa destruction par mesure de sécurité des riverains…

Il faut aussi relever, la déclaration du président de la République, promettant la reconstruction de Notre Dame en cinq ans, mais en tenant compte, symboliquement, de l’évolution du monde… 

Nous sommes ainsi devant une tentative, soit de démolition de Notre-Dame, symbole trop visible qui dérange, sous prétexte d’insécurité, soit de récupération de ce symbole de la France catholique pour en modifier le sens, conformément aux orientations philosophiques de la République …

-*-

Venons-en maintenant à l’événement proprement dit, l’incendie et à ses causes.

Plusieurs faits sautent aux yeux :

1°- Comment se fait-il que dans les minutes qui ont suivi l’annonce de l’incendie, les journaux télévisés aient affirmés avec un bel ensemble, que c’était « un accident » ? 

            Comment pouvaient-ils l’affirmer aussi vite et avec une telle unanimité, comme en réponse à une directive … ?

            Cela évoque la rapidité de l’information lors de la destruction des tours de Manhattan à New-York le 11 septembre 2001, annonçant aussi dans les minutes qui suivaient l’identité des responsables de l’attentat !

On avait découvert les passeports des dits criminels dans les décombres fumants, mais pas les boîtes noires des appareils qui étaient introuvables (1)…

2° – Comme lors de précédents attentats en France, on apprend par Le Parisien du 16 avril, qu’un exercice anti incendie avait eut lieu la semaine précédente, après la dépose des saints qui garnissait le toit de N-D.

3°-  Selon LCI, « deux foyers d’incendie auraient été repérés » à Notre-Dame de Paris, information reprise par le site belge La Dernière Heure, et le quotidien Le Monde du 16 avril qui s’en est emparé pour dénoncer « le « complotisme » d’extrême droite ».

4°- Peu à peu des témoignages d’experts se font jour.

Ainsi, un ancien ingénieur en chef de la cathédrale pendant 13 ans, Benjamin Mouton, a déclaré sur le Direct de LCI le 16 avril devant David Pujadas :

Reprenant les propos de son successeur Philippe Villeneuve, Benjamin Mouton affirme auprès de Batiactu, site des professionnels du bâtiment, que ce dernier était « totalement incrédule » quant à la cause accidentelle de cet incendie d’autant que « les travaux n’avaient pas encore démarré, l’on était en train de monter les échafaudages ».

« En 40 ans d’expérience, je n’ai jamais connu un incendie de la sorte ». « La protection incendie mise en place dans la cathédrale était à son plus haut niveau ». « Lorsque je me suis occupé de la détection incendie, qui a été un dispositif très onéreux, il fallait très peu de minutes pour qu’un agent aille faire la levée de doute ». « Nous avons fait remplacer de nombreuses portes en bois par des portes coupe-feu, nous avons limité tous les appareils électriques, qui étaient interdits dans les combles », conclu Benjamin Mouton auprès de Batiactu.

Un expert du secteur de la construction, confie également son incompréhension auprès de Batiactu :

« L’incendie n’a pas pu partir d’un court-circuit, d’un simple incident ponctuel. « Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre ». « Le chêne est un bois particulièrement résistant ».

Autre témoignage reçu : « Malheureusement, je pense que ce n’est pas un accident. « Je suis une ancienne étudiante de l’Ecole du Louvre diplômée en Histoire de l’art. « J’ai visité la charpente de Notre Dame avec des architectes des Bâtiments de France, il y a plusieurs années. « Cette charpente de bois du 12e siècle était protégée comme jamais ! « Chaque intervention est toujours accompagnée par des historiens, des architectes, des experts, aucun travaux n’est envisagé sans une prudence extrême, pas de source de chaleur, PAS DE CHALUMEAU, pas d’appareil électrique, un système d’alarme performant, et une surveillance très stricte. « Je pense que nous finirons par apprendre que c’est un incendie criminel ».

            Nous sommes donc devant un faisceau de présomptions mais aussi de faits, qui accréditent la thèse criminelle et démentent la thèse officielle.

            Or comme le dit le dicton romain :

« Qui bono », à qui profite le crime ?

            Il faut signaler à ce propos les informations déversées par les médias mentionnant des déclarations de musulmans qui se seraient réjouis du drame, ce qui fait partie de la stratégie sioniste, pour rabattre les catholiques vers Israël.

Par contre, pas un mot d’autres témoignages que nous recevons, de musulmans  appelant les Français à défendre leur Foi et leurs symboles religieux !

            Une autre information donnée par le magasine américain Newsweek du 15 avril révèle qu’au même moment où Notre-Dame brûlait à Paris, un incendie se déclarait à la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem, le troisième site sacré de l’Islam et au cœur du conflit israélo-arabe.

Là encore, le feu sortait du toit de la salle de prière Marwani, ce que confirme la Palestine News Agency, porte-parole officiel de l’Autorité nationale palestinienne.

Cette étrange conjonction d’incendies de deux des principaux lieux de cultes de la Chrétienté et de l’Islam, ne peut que mener aux mêmes soupçons que nous soulevons à chaque attentat en France où à l’Étranger, vite attribués à des « islamistes » qui sont liquidés avant toute enquête !

À nouveau, comme à chaque attentat on nous suggère des explications :

L’utilisation de chalumeaux lors des opérations de consolidation des structures ou un court-circuit … Or toute installation électrique est interdite et il n’est pas fait usage de chalumeaux, ce que tous les experts qui se sont exprimés, confirment.

            N’est-il pas étrange aussi, que l’incendie de Notre-Dame de Paris, d’une signification religieuse considérable pour la chrétienté et la nation française, soit intervenu en pleine Semaine Sainte commémorant la Crucifixion du Christ et sa résurrection … ?!

            D’où la question qu’il faut reposer à nouveau :

            « Qui bono » ? « À qui profite le crime » … !

Serait-ce un aveu ? Baruch Marzel, politicien israélien du parti Otzma Yehudit, s’est moqué de l’incendie qui a ravagé la cathédrale Notre-Dame de Paris, considérant que c’était une “punition divine car le talmud a été brûlé devant cette cathédrale en 1200. Cf. https://medias-catholique.info/un-politicien-israelien-se-rejouit-de-lincendie-de-notre-dame-de-paris-y-voyant-une-punition-divine/27788

C’était sous Saint Louis !

En tout cas la coïncidence de l’incendie avec la conférence du président de la République, prévue une heure et demi plus tard, lui aura permis de suspendre son allocution concernant les revendications des Français qui attendent toujours…

-*-

Progressivement les médias tentent de détourner le rôle de Notre-Dame, comme symbole d’unité de la France, pour lui donner un sens historique, politique, très orienté…, évoquant le sacre de Napoléon, le roman de Victor Hugo, ou le Te Deum à Notre-Dame pour la Libération en présence de De Gaulle, comme si l’histoire de Notre-Dame de Paris n’avait commencée qu’à la Révolution.

Bien évidemment, aucun des commentateurs ne rappelle, un autre événement significatif à Notre-Dame et pour cause : l’interpellation du Père Panicci, prédicateur à Notre-Dame qui, le 25 mars 1945 dénonçait les crimes du pouvoir gaullo-communiste à la Libération, « ce régime d’abattoir », qui résonne encore sous ses voutes… !

L’incendie de Notre-Dame de Paris comporte aussi un symbole. Alors que l’autel moderne qui sert à la célébration du Nouvel Ordo, a été enseveli sous les gravats, l’autel d’origine surmonté de la statue de la Vierge, est resté intact. C’est là comme un message à l’Église moderniste d’aujourd’hui qui, de déviations en déviations et reniements, disparaît sous les décombres des conséquences de Vatican II.

-*-

            Quoi que cherchent à imposer maintenant le Pouvoir et les médias pour récupérer le drame, ou pour occulter ses causes, incontestablement il s’est passé quelque chose qui, espérons-le, permettra de rompre la spirale du déclin de l’Église et de la France.

            Sinon le réveil sera douloureux et brutal !

En tout cas il risque de l’être pour Emmanuel Macron et Édouard Philippe que l’on voir ricaner en arrivant sur les lieux de l’incendie, avant de prendre un air attristé devant les caméras officielles…

Leur ricanement est lourd de signification au moment où l’on apprend qu’il y a eu deux points de départ de l’incendie, ce qui avec les autres éléments que l’on connaît, confirme l’origine criminelle du drame.

D’autant que l’on apprend que le ministère de la Culture vient d’ « interdire aux architectes des monuments historiques d’encore répondre aux interviews au sujet de la cathédrale Notre-Dame de Paris ».

À qui profite le crime ?

Il semble que nous ayons là, la réponse …

 

Philippe Ploncard d’Assac

Président de Cercles Nationalistes Français