Communiqué du 26 mars 2013 des Cercles Nationalistes français

La manifestation contre le mariage homosexuel a été un triomphe en dépit d’une nouvelle ponction sur le portefeuille des familles venues avec leurs enfants.

En outre, contrairement aux manifestants homosexuels montés à Paris du 27 janvier, ils n’ont pas bénéficié de tarifs de faveur, le patron de la SNCF étant comme on le sait, des leurs.

Lorsque l’on réunit tous les documents et témoignages sur le déroulement de la manifestation, on ne peut que constater :

1° Le mensonge du ministère de l’Intérieur, sur le nombre dérisoire de manifestants annoncés officiellement, 300.000, alors que l’on sait par des indiscrétions des services de police que les photos prises par hélicoptère, avaient compté au bas mot 1.800.000 manifestants.

Question : Pourquoi ces vues aériennes ont elles été confisquées, si ces chiffres sont faux … ?!

Le mensonge sur le nombre de manifestants du 23 mars, est encore plus flagrant qu’à l’occasion de celle du 13 janvier avec 400.000 manifestants avoués alors que le million était largement dépassé.

M. Valls apparaît savoir mieux mentir, que protéger les citoyens, comme en témoigne la progression de la criminalité impunie dont le dernier avatar aura été la prise d’assaut du RER B à Grigny …

2° Le déni de la plus élémentaire démocratie de la part de ceux qui se proclament démocrates, refusant l’évidence des chiffres de toute une population hostile au projet du mariage homosexuel, par rapport à l’infime minorité militante homosexuelle.

Ce déni de démocratie, découle de leur peur après cette levée en masse.

Elle devrait pourtant permettre, dans leur prétendue logique démocratique, d’ouvrir la voie à un référendum sur ce problème de société.

3° Le recours aux gaz lacrymogènes y compris sur des familles avec des enfants en bas âge, ou des vieillards, y compris sur des représentants du peuple comme la malheureuse Christine Boutin.

De plus, comme lors des manifestions envers des pièces de théâtre blasphématoires à Paris un car de CRS (Compagnie républicaine de sécurité), les prétoriens de la République maçonnique, a sciemment écrasé une manifestante comme on le voit sur plusieurs photos.

Cela démontre à quel point ce pouvoir se trouve débordé et prend peur.

Le précédent du 6 février 1934 est encore dans les mémoires.

Le peuple de France qui manifestait déjà contre les scandales financiers de la IIIème République et le vol de leurs économies, fut mitraillé pour que les abus des prétendus représentants du peuple perdurent.

Aujourd’hui, nous nous trouvons devant un contexte qui non seulement rejoint le motif de 1934, mais comporte une dimension idéologique philosophique qui va aboutir au bouleversement et à l’inversion de la société par refus satanique de l’ordre naturel, auquel croyants comme non-croyants, adhèrent.

Nous sommes devant une lutte à mort entre un pouvoir aux ordres des lobbies (1) qui veulent bouleverser la société, pour mieux avilir l’homme et le domestiquer, et ceux qui, conscients du processus, réagissent devant cette nouvelle révolution dite française.

Le combat est politique, pas seulement contre les socialistes, mais contre les lobbies qui tiennent tous les partis, car cet aboutissement d’aujourd’hui, n’est que la suite d’un long processus, commencé à la Révolution dite française poursuivi jusqu’à De Gaulle, Giscard d’Estaing, Mitterrand, Chirac, Sarkozy et François Hollande (2).

Nous devons réimposer les principes constitutifs de la société et de la nation, contre les faux principes de 1789, dont la pourriture politique et l’inversion voulue de la société, n’est que l’aboutissement.

Le Bureau Politique des Cercles Nationalistes Français
et Philippe Ploncard d’ Assac, président.


(1) P. P. d’Assac – La Maçonnerie. SPP.
(2) P. P. d’Assac – Évolution de la société ou complot contre la société ? SPP,