Le drame de Fukushima. Un crime sioniste ?!

 

Dans Rivarol, 25.11.11, Michèle Favard-Jirard cite différentes sources selon lesquelles le tremblement de terre et le tsunami qui lui a succédé, n’ont pas été suffisants pour expliquer les catastrophes en chaîne qui ont suivi.

Comme elle l’explique :

«Selon certaines sources du Renseignement US, la cause des explosions qui ont secoué la centrale nucléaire de Fukushima N°1 serait due à la fission d’ogives nucléaires clandestinement subtilisées à partir d’un dépôt d’assemblage d’armement nucléaire aux USA».

 Confirmation de l’affaire, un article du journaliste japonais Yoichi Shimatsu, à Hong-Kong, met en cause une concertation américano-israélienne clandestine.

Ce serait le désir de Shintaro Abe, Premier ministre japonais en 2006, de doter son pays d’un programme nucléaire militaire qui aurait déclenché l’affaire.

Le 27 septembre 2007 le quotidien Yomiuri Shimbun, titrait :

«On apprenait hier que le gouvernement et des sociétés de service public ont entamé des pourparlers avec la Russie».

«Si Washington refuse la nucléarisation du Japon, Tokyo se tournera vers Moscou».

 C’était une allusion à l’opposition du Pentagone à un Japon, puissance nucléaire.

Or selon Yoïchi Shimatsu, le matériel nucléaire «a été autorisé au niveau gouvernemental (américain) le plus haut, par suite d’un accord trilatéral entre l’équipe Busch-Cheney, le gouvernement israélien d’Ehud Olmert et le Premier ministre nippon Shinzo Abe».

 La suite de cette affaire et ses enchaînements sont curieux.

Le matériel nucléaire nécessaire fut dérobé du site BWXT Pantex à Amarillo, Texas, soit 16 tonnes d’ogives nucléaires placées dans des containers réfrigérés afin d’éviter les risques de fission nucléaire et acheminées jusqu’au port de Huston à bord de navires d’une compagnie israélienne

Or un membre de la CIA, inspecteur du port, Roland Vincent Carnaby, qui aurait détecté la radioactivité de la cargaison, allait être abattu par deux policiers alors qu’il poursuivait une voiture occupée par des Israéliens…!

Ce qui est étrange c’est que son contrat le liait à la société israélienne Neptune Intelligence Computer Engineering

Tout dans cette affaire est suspect, à commencer par l’accord secret entre les gouvernements américain, israélien et japonais.

Or, souligne Yoichi Shimatsu :

«Les Israéliens, endossant le rôle de courtiers, n’ont pas hésité à réclamer à Tokyo un supplément d’honoraires et, pour comble d’injure, ont eu l’audace, avant la livraison, de changer les têtes nucléaires neuves par des plus usagées, appelées donc à être enrichies».

La fraude découverte, les responsables nippons du nucléaire, n’eurent d’autre choix que d’enrichir les coeurs d’uranium à Fukushima.

Les Japonais ayant exigé le remboursement, il sera refusé par Israël, entraînant en représailles, le soutien nippon aux droits des Palestiniens à l’ONU.

À partir de là, le drame va se nouer.

 Pour se venger de l’aide apportée aux Palestiniens, le Mossad allait «infecter» les installations nucléaires japonaises par le virus informatique Stuxnet qui avait déjà servi contre les installations nucléaires iraniennes en 2010 (1).

Les pare-feux informatiques résistèrent au virus jusqu’au séisme de Tohoku, mais la coupure de courant qui eu lieu alors, aurait perturbé le système de contrôle, supprimant le pare-feu.

Ce n’est que lorsque qu’il fut rétabli, que Stuxnet entra en fonction stoppant les génératrices de secours.

Ainsi, pendant les 20 minutes entre le séisme et le tsunami, les valves et les pompes ont été immobilisées et le flot d’eau de refroidissement dans les piscines interrompu.

La fusion des coeurs surchauffés aurait ainsi provoqué des explosions et amplifié par deux facteurs extérieurs imprévus :

L’entrée en action du virus qui ferma les systèmes de sécurité et la présence de matières nucléaires à usage militaire qui, du fait de la fraude israélienne, étaient présentes à Fukushima pour être enrichies.

 On est ainsi amené à penser que cette livraison de matériel nucléaire au Japon a été un piège ourdit de commun accord américain et israélien, en vue de neutraliser toute velléité du Japon de se doter de l’arme nucléaire.

 Le journaliste japonais Yoichi Shimatsu conclut :

«La Cour pénale internationale a suffisamment de preuves pour intenter un procès concernant la santé de millions de Japonais, Canadiens,Américains, Russes, Coréens, Mongols, Chinois» (…).

«Le désastre de Fukushima est un crime contre l’humanité !

Un de plus, sur la longue liste des crimes de l’entité américano-sioniste (2) !

Depuis ces révélations, c’est le silence total. Pourquoi ?!

P. P. d’Assac

(1) Laurent Heslault – Cyber-espionnage pour cyber-sabotage, sur France 24
(2) P. P. d’Assac. Le Complot mondialiste. S.P.P. Publié dans La Politique N° 125, Janvier 2012


Retour à l’accueil Retour vers « Documents pour l’histoire »