L’Affaire Mehra. Un crime d’État ?

 

L’Affaire et la fin de Mohamed Merah sont étranges.

De même que Georges W. Bush et ses «néoconservateurs» juifs trotskystes du Pentagone avaient immédiatement après le 11 septembre, évoqué Pearl Harbor, de même Sarkozy s’est précipité pour clamer que les meurtres de Montauban et de Toulouse attribués à Mohamed Merah, «étaient un nouveau 11 septembre».

Ce qui est parfaitement exact, mais pas dans le sens où il fait appel au réflexe conditionné de l’opinion publique !

Pearl Harbor a été une provocation de Roosvelt pour pousser les Japonais à attaquer en vue de provoquer le choc émotionnel afin de justifier son entrée en guerre (1).

De même que le 11 septembre 2011 a été un autre crime d’États pour justifier les guerres en Afghanistan, puis en Irak, de même, Sarkozy a monté un mini 11 septembre avec l’Affaire Merah.

Cela lui était nécessaire pour se présenter comme l’homme fort qui défend les Français, mais aussi au profit d’Israël et du judaïsme «victime à nouveau de l’antisémitisme» et pour préparer la participation de la France à une intervention israélienne contre l’Iran.

Ainsi se fait l’histoire moderne à coups de crimes d’États pour pousser à la poursuite du plan mondialiste messianique.

Étrange Affaire Merah en effet, car alors que Claude Guéant clamait qu’il voulait «l’avoir vivant pour connaître les ramifications et les soutiens dont Merah avait bénéficié», tout a été fait pour le faire taire définitivement.

Le déroulement des faits est troublant, car comment se faitil que Merah ait crié «pourquoi vous me tuez, je suis innocent», au moment où le RAID investissait son logis…?!

C’est là, le point clé de l’Affaire confirmé par les vidéos fournies «par des personnes au coeur de l’évènement qui voulaient que la vérité éclate», citées par Zahia Mokhtari, l’ avocate du père de Merah, aussi une question surgit immédiatement : Pourquoi cette question de Merah s’il était le tueur ?!!!

S’il était coupable, son étonnement, sa question, ne se comprendraient pas.

Il saurait pourquoi on le tuait !

De même, pourquoi un sniper était-il au bon endroit pour le tirer comme un lapin au moment ou il tentait de s’échapper, alors qu’ officiellement on prétendait le «prendre vivant» ?!

La fameuse déclaration d’Amaury de Hautecloque, responsable du RAID, parlant de «l’assaut donné avec des armes non létales» (sic), ne collent pas avec l’issue du drame.

On ne lui a donné aucune chance de se rendre.

Pourtant les forces mobilisées pouvaient aisément le neutraliser par gaz lacrymogènes, gaz paralysants, taser, ou par la famine.

Cela nous amène à nous pencher sur la personnalité et le parcours de ce Mohamed Merah :

1°- On apprend que ce franco-algérien de 23 ans, «aimait sortir en boîte, faire la fête, boire de l’alcool»…

Cela ne cadre pas avec l’image de djihadiste que l’on nous a donné.

 2° Il était un agent de la DCRI (Direction Centrale du Renseignement Intérieur) dont il connaissait bien le patron, Bernard Squarcini, au point de le tutoyer, et probablement aussi du Mossad.

 3° Selon le quotidien italien Il Foglio, 27.3.12, c’est sur recommandation d’Erard Corbin de Mangoux, directeur de la DGSE

(Direction Générale de la Sécurité extérieure) que Merah a pu être accepté en Israël …

4°- Différentes études nous apprennent qu’en 2010 il avait fait un séjour en Israël, ce qui a été confirmé par les Israéliens, mais il y a un doute sur la chronologie.

Ce voyage a-t-il eu lieu avant ou après son voyage «touristique» en Afghanistan et au Pakistan ?

S’il a eu lieu avant, comment a-t-il pu entrer au Pakistan, en Syrie, en Jordanie, en Irak, ayant un visa israélien sur son passeport ?!

S’il l’a fait après, comment a-t-il pu avoir le visa israélien, à moins de prendre les Israéliens pour des naïfs ?!

5° – Comme l’a relevé Christian Prouteau l’ancien responsable du GIGN, comment se fait-il, si Merah n’était pas un agent de la DCRI, «que l’on ait laissé en liberté cet individu dont on nous dit que l’on savait que lui, son frère, sa mère avaient des armes cachées» ?!

6°- Selon des témoins de l’assassinat des militaires francomusulmans, revenus d’Afghanistan, cf. p. 6, l’agresseur était corpulent, ce qui ne correspond pas au signalement de Merah.

 Ainsi, petites touches par petites touches, «une autre vérité» se dessine Merah a été utilisé et liquidé pour monter l’apparence de l’Affaire !

D’où son exclamation, «pourquoi me tuez-vous» ?!

Il ne comprend pas , car il n’est pas l’auteur des meurtres.

7° – Squarcini, son «protecteur», est un familier de Sarkozy qui en 2008 lui a confié la DCRI issue de la fusion de la DGST et des RG.

Or Squarcini est mis en examen par les juges Tournaire et Robert dans l’affaire dite des «fadettes» de l’Affaire Bettencourt-Woerth-Sarkozy et dans celle du cercle de jeu Wagram, haut lieu de financement de la mafia corse (2).

Ce qui rappelle que Sarkozy fut l’avocat des affaires troubles de l’Union corse de son mentor Charles Pasqua… ! (3).

Question subsidiaire : Comment se fait-il, que Sarkozy qui brandit l’épouvantail du djiahd, continue à ouvrir la porte à l’immigration maghrébine qui en est le vivier ?!

S’il le fait, c’est que l’immigration-invasion est nécessaire au plan mondialiste de destruction de la France dont il est l’un des agents.

8° – On n’a jamais vu les cadavres des enfants, ni du professeur de l’école talmudique de Toulouse, tous ayant été promptement expédiés en Israël, nous a-t-on dit…

Impossible désormais, d’avoir une preuve matérielle de ce crime.

9° Pourquoi Mehra, agent de la DCRI aurait-il tué, si c’est lui l’auteur de ces meurtres, les militaires franco-musulmans, revenus d’Afghanistan?

La déclaration de l’ancien commandant de l’armée soviétique en Afghanistan, le général Mahmut Gareev à Russia Today, 22.8.09 pourrait bien être l’un des clés de cette Affaire :

«L’armée américaine n’empêche pas la production de drogue en Afghanistan, car elle lui rapporte au moins 50 milliards de $ par an».

«L’armée se charge de transporter la drogue à l’étranger à bord de ses avions militaires, ce n’est pas un mystère».

 C’est déjà ce que j’évoquait dans La Politique N°128, le lien avec les meurtres des militaires français à Montauban et Toulouse, juste revenus d’Afghanistan …

Étaient-ils des témoins dangereux de ce qu’ils auraient vu en Afghanistan ?

Les prétendûs meurtres de l’école talmudique – dont on a jamais vu les corps – étant associés à celui des militaires pour en masquer la véritable cause…

Tout dans cette affaire sent la manipulation au profit de Sarkozy.

1° Pour le présenter comme le «sauveur», en vue des Présidentielles,

2° Pour lui permettre, étant élu, d’échapper à la justice dans les affaires de Karachi, Bettencourt-Woerth, et autres qui se resserrent autour de lui.

3° Pour relancer la saga de «l’antisémitisme menaçant»…

C’est pourquoi Merah devait mourir.

Il était le pion, le bouc émissaire nécessaire pour monter ce crime d’État

Il ne fallait en aucun cas qu’il puisse clamer son innocence.

On arrive ainsi à une tout autre vérité.

Il y a eu deux Affaires, distinctes :

– Celle des militaires dont on a vu les corps,

– Celle de l’école talmudique dont on n’ a jamais vu les corps, immédiatement expédiés en Israël, nous a-t-on assuré…!

Philippe Ploncard d’Assac


L’AFFAIRE MEHRA (suite)

La Politique N°130, juin 2012

Le père de l’un des militaires musulmans abattus le 15.3.12, nous a-t-on dit, par Mohamed Merah à Montauban, a porté plainte contre Sarkozy et Bernard Squarcini directeur de la DCRI (Direction Centrale du Renseignement Intérieur) dont Merah était un agent.

Wikistrike 7.5.12 rapporte que le père affirme que :

«L’hypothèse qu’on a éliminé Merah pour qu’il ne parle pas me paraît de plus en plus plausible».

«La volonté politique était qu’il meure»

 C’était ma thèse dans le N°129 de La Politique, la seule qui explique les invraisemblances de la thèse officielle.

Une autre analyse diffusée par Wikistrike, 27.3.12, est plus douteuse :

«Israël aurait fait assassiner Samuel Sandler – le professeur de l’école talmudique de Toulouse – pour provoquer un choc émotionnel international et bloquer une résolution de l’ONU qui a pour but de vérifier les droits de l’homme dans Jérusalem et dans les territoires occupés».

Possible, bien que l’exemple du 11septembre 2001, à New York, semble indiquer que les Israéliens sont peu enclins à liquider ou faire liquider les leurs, même pour atteindre leur but.

Le fait que la très grande majorité des Juifs travaillant dans le World Trade Center ne soient pas venus travailler ce jours là, en est la preuve éclatante.

De même, en ce qui concerne Samuel Sandler, à notre connaissance aucune chaîne n’a diffusé les photos des corps des victimes annoncées, de l’école coranique de Toulouse.

Qui plus est, «les corps» auraient été immédiatement évacués vers Israël, comme les décombres du World Trade Center, immédiatement enlevés, soustraits à toute analyse (1).

Pourtant, il y a un précédent.

La haute juiverie n’a pas hésité à refuser l’asile en Angleterre et aux États-Unis aux Juifs dont l’Allemagne voulait se débarasser.

Cela allait leur être utile dans le montage de saga de la Shoa.

Tous les aspects douteux de ces «crimes» amènent fatalement à penser que l’on se trouve devant des fictions quant à leur présentation et plus réellement, devant des «forgeries» de ces pouvoirs politiques.

Des crimes d’États ! (1), (2), (3).

Philippe Ploncard d’Assac

(1) P. P. d’Assac- Le Complot mondialiste.
(2) Le Canard enchaîné, 18.4.12
(3) Sarkozy ou la mort programmée de la France. SPP


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